L’EMMURÉ VIVANT / «L’œil Confiné»

«L’œil Confiné» nouvelle

CHAPITRE 1 : L’enfermement
Dans une ville plongée dans l’obscurité de l’isolement, les rues désertes semblaient être des couloirs sans fin, dévorant chaque once de vie. Les rires et les sourires avaient disparu, masqués sous le poids de la pandémie qui avait emprisonné le monde. Comme Edgar Allan Poe, je me suis senti emmuré vivant, une existence réduite à des murs de solitude.

CHAPITRE 2 : La folie sociale
La société, jadis bouillonnante d’activités et de rencontres, était maintenant une coquille vide. Les visages étaient dissimulés derrière des masques, les interactions se limitaient à des écrans et des conversations virtuelles. La folie sociale se répandait comme un virus invisible, rongeant nos âmes. L’œil de la caméra surveillait nos moindres faits et gestes, une nouvelle forme d’aliénation.

CHAPITRE 3 : Le Temps Suspendu et La Quête de Compréhension
Au milieu de ce cauchemar, l’œil de l’âme cherchait désespérément à comprendre. Comment en étions-nous arrivés là ? Comment l’humanité avait-elle pu en arriver à un tel point de rupture ? Les réponses semblaient se cacher derrière des murs invisibles, tout comme le virus qui nous avait enchaînés.

Le temps semblait s’étirer à l’infini, comme une toile d’araignée enveloppant nos vies. Les jours se mélangeaient, les semaines devenaient des mois, et nous étions piégés dans une éternité monotone. Les aiguilles de l’horloge tournaient lentement, rappelant la fragilité de notre existence. L’œil intérieur scrutait les souvenirs passés, regrettant le temps perdu.

CHAPITRE 4 : Le Nouveau Regard
Cette œuvre, inspirée par «L’emmuré Vivant» d’Edgar Allan Poe, est une exploration contemporaine de l’isolement, de la folie sociale et du temps qui passe pendant la pandémie de COVID. L’œil symbolise notre introspection, notre quête de compréhension dans des temps incertains. Tout comme Poe, nous avons ressenti la douleur de l’enfermement, mais nous avons également trouvé la force de regarder au-delà de nos limitations. En fin de compte, nous avons découvert un nouveau regard sur le monde, une appréciation renouvelée de la liberté et de la vie elle-même